Comment s’émanciper des rapports de domination, d’oppression et d’autoritarisme ? Construire la coopération, le collectif, la solidarité et aller vers l’autogestion ?
Un stage théorique et pratique :

Analyser et mieux comprendre. Découvrir, partager et construire des outils.
Sortir du chacun-e pour soi, de la lutte des un-e-s contre les autres, de la concurrence, du diviser pour mieux régner et du There’s no alternative (TINA)
En croisant :
‣ Les approches syndicales et pédagogiques qui ont une histoire en commun.
‣ Différents niveaux d’analyse et de pratique : dans la société, sur nos lieux de travail, dans les classes, dans les luttes.

Au programme notamment :

Pratiques et outils des pédagogies de l’éducation nouvelle, mouvement Freinet, école du 3e type, théâtre de l’opprimé, clowneries ...
Résister face à la marchandisation de l’école, aux réformes réactionnaires et libérales
La lecture, dimensions politique et idéologique
Faire penser les élèves à l’école sur leurs apprentissages, leurs empêchements, le monde, leur condition ...
Des ateliers, des conférences ...
Et prendre du temps ensemble pour se rencontrer et échanger

Avec :
Pascal Diard professeur d’Histoire Géographie, GFEN
Catherine Chabrun professeure des écoles, ICEM, Questions de Classe(s), auteure de « entrer en pédagogie Freinet » aux éditions Libertalia
Daniel Gostain professeur des écoles, ICEM
Sophie Billard professeure des écoles, film Dans la classe de Sophie, à la rencontre du 3e type en éducation prioritaire
Des militants syndicaux et pédagogiques locaux.
La participation de SUD CT et des éditions ODILON.

Du 22 au 24 Mai à Ampilly-le-Sec (21), gîte de la Garenne proche Châtillon sur Seine
Un stage en internat : 3 jours/2 nuits pour en parler, mais aussi pour vivre le partage, la coopération et l’autogestion.

Pour s’inscrire :
1) nous écrire à stagesudampilly@gmail.com
2) adresser une demande à sa hiérarchie avant le 22 avril,
Procédure et modèle à télécharger :

plaquette du stage :

La formation syndicale est un droit !
Nous avons droit à 12 jours de congé de formation syndicale par an, fractionnables à volonté (une journée minimum). Et ce, que l’on soit syndiqué-e ou non, titulaire ou non.
La demande de congé doit être faite par voie hiérarchique au moins un mois avant la date de début du congé.
De la part de l’administration, à défaut de réponse expresse au plus tard le quinzième jour qui précède le stage, le congé pour formation est réputé accordé.
Les décisions exceptionnelles qui le refuseraient doivent être motivées par les nécessités de fonctionnement du service et communiquées avec le motif à la commission administrative paritaire qui suit.
L’administration ne peut exiger ni convocation ou autre document, ni information sur l’objet de ce stage.
L’administration peut en revanche exiger une attestation de présence à ce stage, à votre retour.